Christian De Cock – 61 ans Conseiller communal – Docteur en chimie et actuellement en charge du département brevet d’une firme internationale, maraîcher en production naturelle et Eco-guide énergie de Braives Père de 4 enfants – habite à Fumal 047/30 90 86

Je suis avec d’autres personnes de l’entité à l’origine d’un groupement d’achat et la promotion de l’utilisation de produits locaux et respectueux de notre environnement.

Dans cette logique, et par passion du potager, voilà plusieurs années que je me suis lancé dans la culture maraîchère à échelle humaine (50 ares). Cela me permet de partager des légumes oubliés avec mes voisins et amis.

Depuis 2003, je suis actif au niveau du Comité de Fumal, de cette manière je me suis senti plus rapidement intégré dans la communauté fumaloise. Les activités permettent aussi de tisser des liens entres les personnes des différents quartiers de Fumal, ainsi que des liens entre les anciens et les nouveaux arrivés.

Depuis 2001, je trouve effectivement que Fumal et les sept autres villages sont un cadre de vie agréable, mais qui pour moi mérite d’être encore amélioré en incluant la solidarité entre citoyens.

Donc je devais faire quelque chose pour que cela change : en faisant de la politique autrement, de la politique pour le citoyen. Voilà pourquoi, avec ma responsabilité au niveau d’Ecolo Braives, j’ai choisi de proposer ma candidature pour les élections du 14 octobre prochain.

Pourquoi être candidat pour 2018 ?

Après six années comme conseiller communal de la minorité et avoir vu et vécu la gestion de notre commune je trouvais qu’il fallait, avec, une équipe motivée, commencer le travail du changement. La politique permet de pouvoir réaliser des projets afin de concrétiser les théories de solidarité et de réduction de l’utilisation de l’énergie. Arrêtons de vivre à crédit, nous avons qu’une Terre, voilà pourquoi je veux une politique alternative à la gestion actuelle de notre commune.

Une phrase, une pensée de tous les jours ?

 » L’énergie la plus efficace est celle que l’on puise au fond de soi-même pour les autres »