Idéaliste dans l’âme, je me suis lancé en politique plutôt que de continuer à me lamenter. Citoyen, j’ai donc décidé de mettre la main à la pâte pour essayer de changer les choses.
Comment peut-on demander aux gens d’être solidaire avec le quart des « enfants vivant sous le seuil de pauvreté » quand on va chercher 20.000 euros de salaire par mois comme bourgmestre ?
Comment peut-on trafiquer « le panier de la ménagère » pour éviter un saut d’index des salaires et allocations sociales quand on va chercher 500 euros de rémunération à la minute dans les intercommunales ?
Comment peut-on s’offusquer que Trump redéfinisse « l’Obama Care » quand on oblige les gens, en détricotant la couverture sociale, à prendre des assurances complémentaires en soins de santé ? A cotiser eux-mêmes dans le privé pour leur pension ? Dans la capitale de l’Europe, c’est « Médecins du Monde » qui s’occupe de nos SDF, c’est choquant !
Je comprends de moins en moins ce monde où l’on fait des projets à court terme en gagnant un maximum d’argent plutôt que de penser aux générations futures.
On ne va pas sauver la planète et ses habitants en faisant du compost ou en payant ses achats en monnaies locales mais bien en prenant les décisions qui mènent à une vraie alternative de gestion de celle-ci.
Il est temps que les citoyens, en rangeant les politiques au placard, prennent les choses en main !
Bravo Bernard. Complètement d’accord avec toi. C’est maintenant ou jamais, au sens premier de l’expression. Tu as tout mon soutien, même si c’est d’un peu loin.